OGM

Le NON aux OGM est un OUI à la vie, un OUI au respect des droits de l'homme, un OUI au respect de tout les êtres vivant.

Les Multinationales transcontinentales Aventis, Monsento, Pioneer, Syngeta etc...ne veulent pas combattre la faim dans le monde, elles veulent contrôler le marché, dominer l'agro-alimentaire, ce sont elles qui vendent les pesticides. Avec les brevets sur le vivant, leur seul but est le profit. Des milliers de paysans se suicident en Inde étranglés par ces firmes.

La loi sur les OGM nous n'en voulons pas.

Refuser les OGM c'est résister contre la dictature des lobbies de ces industries de la mort.

Refuser les OGM c'est soutenir le droit à vivre libre.

Aujourd'hui nous sommes dans une révolution pour le droit à la vie, pour la liberté, l'égalité et la fraternité.

Nous devons nous rassembler pour lutter contre les injustices, contre les menaces sur le vivant, pour les générations futures, pour le droit au bonheur.

Aujourd'hui la famine tue des dizaines de millions de personnes dans le monde et pourtant les moyens techniques dont l'agriculture actuelle dispose produit plus qu'il ne faut pour nourrir la population mondiale, elle a la capacité de nourrir 12 milliards de personnes alors que nous ne sommes que 6,5 Milliards d'habitant sur notre planète.

Le vrai problème de la malnutrition et de la sous alimentation c'est la dette des pays pauvres.

La solution au problème de la faim dans le monde, c'est n'est pas les OGM, c'est l'annulation de cette dette.

Le problème c'est l'emprise des lobbies sur les gouvernements et les parlements.

Ou est la volonté des peuples dans les lois que les parlementaires votent?

A quoi à servit le grenelle ou il n'a pas été possible de remettre en question le nucléaire, ou les autoroutes et les incinérateurs sont tombés dans les oubliettes et ou les OGM aboutissent demain à Paris ?

Ce fut un grenelle somnifère servant à endormir le peuple pour mieux l'enchainer par des lois iniques qui font passer les profits avant l'être humain.

Il est l'heure de se réveiller et de prendre ses responsabilités.

 

Entretien avec Jean Ziegler :